Rodolphe nous explique les métiers de l’affrètement

Rodolphe, qu’est-ce qu’un affréteur ?

(rires) C’est une personne qui trouve des solutions en permanence pour ses clients ! Plus sérieusement, notre métier est d’organiser l’expédition de marchandises avec des moyens appropriés, en respectant le cahier des charges du donneur d’ordre. Mais nous n’avons pas de moyens en propre, nous travaillons pour cela avec des prestataires. En simplifiant, on pourrait dire que nous faisons de l’achat/vente de transport, sans avoir un seul camion.

Te souviens-tu de tes débuts chez GT solutions ?

Oui c’était en 2018, le métier d’affréteur n’existait pas dans l’entreprise. Cela a commencé par la création d’une nouvelle entité, GT Réseaux Spécialisés. Puis son directeur, Pierre-Yves, m’a demandé en 2021 de reprendre le pilotage de l’affrètement.

Est-ce toujours ta fonction aujourd’hui ?

Mon poste est plus large puisque je suis Responsable réseau affrètement et achats. Ce qui veut dire que j’anime de manière transversale un réseau de 25 affréteurs partout en France, en définissant les évolutions nécessaires de nos outils, et en mettant en place des processus uniformes entre les différentes plateformes de GT solutions. Cette mission a été couronnée de succès l’an dernier avec l’obtention de la norme ISO 9001.

Je suis également en veille sur d’autres sujets, comme les formations indispensables pour développer les compétences des collaborateurs, ou élargir sans cesse notre portefeuille de prestataires Transport. A cet effet, j’ai créé un questionnaire afin de bien identifier leur périmètre et mieux cibler nos demandes. L’important est de ne pas s’enfermer dans des habitudes de sous-traitance mais de rester en alerte permanente.

Enfin, sur la partie Achats, je suis garant de la qualité des tractions : nous en effectuons plus de 130 par jour. Je m’assure du meilleur rapport qualité/prix, de la cohérence avec les attentes du client, du respect des délais, et d’intégrer aussi un critère environnemental en proposant dans nos réponses des énergies alternatives. J’interviens également auprès du service commercial en réponse aux appels d’offres, et nous avons en projet de déployer prochainement un bureau d’études afin de renforcer ce pôle.

Ce que tu aimes le plus dans ton poste ?

Accompagner, expliquer, faire grandir les collaborateurs pour la partie animation d’équipe. La transmission m’importe beaucoup, car il n’y a pas de formation diplômante pour le métier d’affréteur. Nous accueillons d’ailleurs 4 alternants dans nos effectifs. Et j’apprécie aussi le challenge, le fait de trouver des solutions, de construire en lançant de nouvelles activités. Résoudre des problèmes, c’est l’ADN d’un affréteur !

Un bon souvenir à partager ?

Le démarrage du dossier Goodyear en 2023. Il y avait des enjeux importants avec un plan transport à monter au départ d’Amiens. Rien n’existait. C’est une belle victoire collective, avec une forte implication des équipes. Je pense aussi au lancement de l’activité Rexel en 2019, notre première réalisation sous le drapeau GT solutions.

Ton moment préféré de la journée ?

Celui où je travaille avec d’autres métiers ou d’autres affréteurs pour réfléchir ensemble à la meilleure manière de répondre à une demande. C’est la satisfaction client qui me fait vibrer !

 affréteur GT solutions

« Le terrain, c’est ma juste place »

Une question toute simple, mais révélatrice de ton parcours : depuis combien de temps travailles-tu chez GT ?

(rires) Depuis le 20e siècle ! Après un job d’été chez Samada qui m’avait familiarisé avec le monde du transport, j’ai été embauché à « la GT » comme coordinateur transport en 1990, pour élaborer les tournées et superviser la logistique de nuit d’une nouvelle entité, créée en Île-de-France. Rien à voir avec mes études de droit, mais au final, je suis resté dans cet univers passionnant.

 

En revanche, tu n’es pas resté en place. Tu as presque fait le tour de France avec GT…

Oui ! Après la région parisienne, Michel Sarrat, dirigeant de GT location à l’époque, m’a demandé de participer au lancement d’un dossier important dans l’Oise. Puis après 2 ½ ans passés à Crépy en Valois, une nouvelle externalisation m’a conduite dans l’Est de la France. Ma mission achevée, Michel m’a proposé de prendre la direction de la filiale GT Nord. C’était une petite structure de 60 personnes… qui regroupait plus de 300 salariés quand j’en suis parti en 2006 !

 

Et là, direction Bordeaux, avec de vrais changements…

Quand j’ai pris le poste de Directeur de la filiale GT Sud-Ouest, j’ai véritablement pris conscience des différences entre les filiales du Groupe. Dans le nord, nous avions peu de clients, peu de métiers mais de très gros contrats. Alors que chez GT Sud-Ouest, c’était de nombreux clients sur toutes les activités possibles. Ces changements furent très enrichissants, j’ai beaucoup appris. Suite à un sérieux problème de santé du DF en poste, retour fin 2010 en Île-de-France pour assurer durant six mois l’intérim. C’est à mon retour à Bassens mi-2011 que j’ai pris le poste de Directeur des opérations.

Alors, peux-tu nous expliquer ce que tu entends par « courroie de transmission » ?

Je fais le lien entre les 9 filiales et les services support de Bassens, et j’anime l’équipe des 9 Directeurs de filiales dans la recherche de performance, l’amélioration continue, la mise en place d’outils, la diffusion des bonnes pratiques. Je favorise également les échanges et les synergies entre eux. Je fais en sorte que le collectif soit le plus vivant possible. J’interviens aussi dans le déploiement des enjeux stratégiques de l’entreprise, qui touchent la rentabilité, l’organisation comme par exemple lorsque nous avons scindé l’activité de GT Sud-Ouest et créé GT Occitanie, ou le développement. Sur ce dernier point, je travaille avec le service commercial sur la préparation puis la mise en place de contrats nationaux.

 

Quand tu parles d’être un couteau suisse, c’est positif ou négatif ?

C’est complètement positif ! Mon poste est riche et diversifié, je ne m’ennuie jamais. Toutes les semaines, je multiplie les rencontres avec les clients, les services support, les équipes sur le terrain. En sachant que tous ces paramètres sont différents en fonction de chaque région.

 

Tu dis : Le terrain, c’est ma juste place

Oui, bien sûr. C’est ce que je préfère, même si les déplacements sont parfois contraignants en termes de planning et de vie familiale. Mais je ne sais pas fonctionner autrement. J’ai essayé les visios, généralisées pendant la pandémie, mais non, rien ne vaut le dialogue en face à face. Les véritables relations humaines ne se tissent ni à distance, ni par procuration ! Je programme 5 comités opérationnels par an avec les 9 directeurs de filiale (DF) et en fonction des sujets j’y associe des intervenants ad’hoc. J’y ajoute un point mensuel pour lequel je me rends dans chaque structure, à l’exception de la Bretagne où les déplacements sont moins fréquents compte tenu du temps de trajet.

 

À qui servent ces points mensuels ?

Je rencontre le DF, bien sûr, mais aussi le Responsable maintenance, le Responsable d’exploitation, et le plus souvent possible le commercial. C’est un moment privilégié pour faire un point d’étape sur les actions en cours entre les opérationnels de la filiale et les services support (RH, technique, contrôle de gestion…). En étant sur site, en discutant avec les équipes et les conducteurs qui passent, je saisis mieux l’ambiance, les projets, les difficultés de la filiale. Dans les métiers que je représente, la création de valeur se fait au volant des camions et par l’exploitation.

Directeur opérations GT solutions

 

 

 

 

 

Jeux de Paris : nos conducteurs se préparent comme des athlètes !

1 – Je prends soin de mon corps

Le capital santé, c’est inestimable. Cela passe par de petits gestes quotidiens qui entretiennent la forme :

  • bien dormir,
  • manger équilibré,
  • éviter l’exposition trop prolongée aux écrans,
  • pratiquer chaque jour une activité physique, même anodine :monter les escaliers, jardiner, marcher…

hygiène de vie au volant

2 – Je m’échauffe avant la conduite ou la manutention

L’échauffement avant la prise de poste permet de se mettre en condition pour épargner les muscles. Voici quelques exemples d’exercices à faire plusieurs fois avant la conduite ou la manutention :

  • Effectuer 10 rotations du buste, en laissant le bassin se relâcher,
  • Jambes tendues, laisser descendre le buste en respirant profondément, chaque expiration contribuant à la détente,
  • Laisser tomber plusieurs fois la tête à gauche et à droite.
  • Enfoncer la tête dans ses mains en conservant les épaules collées au siège, en maintenant 10 sec.

 

3 –Je prends mon temps pour décomposer les mouvements complexes

Il faut limiter ou supprimer les mouvements dangereux pouvant créer des lésions ou des douleurs chroniques, telles que les TMS (troubles musculo-squelettiques).

Rappel : 1 accident professionnel sur 3 a pour origine les manipulations au poste de travail ou les transports manuels, et 80 % des maladies professionnelles entraînant un arrêt de travail sont dues aux gestes et postures.

 

4 – Je suis bien équipé pour me protéger

Comme un sportif de haut niveau, la tenue est essentielle pour garantir la sécurité et l’intégrité physique du travailleur : têtes, bras, mains, jambes, pieds… toutes ces parties du corps sont précieuses, et doivent systématiquement être protégées par le port des EPI (équipements de protection individuelle).

 

 

 

 

GT solutions accueille chaque année de nombreux alternants

Maxence aime la négociation

Démarrons ce reportage par le siège de GT solutions, à Bassens (33). Maxence travaille au service Achats depuis septembre 2023.

Après un Bac ES, un DUT GEA (gestion des entreprises et des administrations) complété par une licence, cet étudiant a donc décidé de poursuivre son cursus avec un master orienté Achats. Son rythme de l’alternance s’organise globalement entre 1 ½ semaine de présence chez GT solutions, et une demi-semaine à l’école.

Maxence alternant GT solutionsTrès content, il aime tous les aspects de son alternance, à commencer par son arrivée chez GT solutions : « l’intégration s’est super bien passée, à l’image des valeurs humaines que je trouve ici. Pour une première prise de contact avec l’entreprise, c’est réussi ! »

Apprécie-t-il la rotation être en cours/être dans l’entreprise ? « Oui, sans hésiter. L’alternance est une bonne manière de rentrer dans le monde du travail, nous continuons d’aller en cours tout en ayant un pied dans l’univers professionnel. C’est bien mieux que les stages car je suis considéré comme un salarié, avec des objectifs et des missions à plus long terme. »

Ses missions justement, quelles sont-elles ? « Je m’occupe des achats indirects, tels que des imprimantes, des copieurs, des vêtements de travail, des locations de voiture ou d’engins de manutention. » Et d’où vient son attirance pour ce métier ? « Ma mère est acheteuse, ça m’a toujours intéressé. Avec mes référents du service Achats, Damien, Abdel ou même Romuald, le manager, j’assiste aux négociations. Je regarde, j’apprends, parfois je mène mes propres pourparlers sur des petits montants et j’aime vraiment ça ! »

 

« Chez GT, je suis tout en haut de l’échelle ! »

Maïlys ne cache pas son enthousiasme lorsqu’on l’interroge sur son poste d’assistante administrative en alternance dans la filiale GT solutions Centre-Ouest. Dans sa classe de 1ère année de BTS Gestion de la PME, elle échange avec ses camarades et mesure sa chance de travailler dans de telles conditions. « Ici, on est au courant de l’actualité de la filiale, on parle entre nous. Tous les lundis, nous avons des réunions avec les managers de GT Centre-Ouest pour faire un point général. Comparé aux autres étudiants, chez GT solutions, je suis tout en haut de l’échelle en termes d’intégration et d’ambiance entre collègues ! Lorsque je suis arrivée par exemple, en juillet 2023, on m’a présenté toute la structure, puis j’ai tourné avec des conducteurs pendant 2 jours, et ensuite je suis partie une semaine sur le terrain avec des managers de proximité. Toutes ces expériences m’ont énormément appris sur l’activité, et permis de comprendre l’environnement de travail ».

Maïlys a également participé aux « Welcome days », des journées dédiées aux nouveaux arrivants. Pendant 2 jours, ils sont reçus dans les locaux du siège en Gironde et peuvent ainsi rencontrer tous les services support.

Maïlys connait déjà le monde du travail, puisqu’après un baccalauréat professionnel dans la vente, elle a travaillé durant 2 années dans la vente alimentaire et prêt à porter. « Ensuite, j’ai décidé de me réorienter sur un BTS GPME puisque ce domaine me plaisait également. »

alternante chez GT solutionsChaque mois, Maïlys enchaîne 1 semaine de cours et 3 semaines dans l’entreprise, avec une spécificité : elle est à l’école tous les vendredis. « J’aime beaucoup cette formule car 3 semaines sans aller en cours, c’est assez long. Alors que là, nous nous voyons tous les vendredis, cela permet de ne pas lâcher sur les acquis et sur les bases théoriques. »

Maïlys ne connaissait pas l’univers du transport, elle reconnait que c’est la fiche de poste qui l’a convaincue : « Mes missions sont très polyvalentes, cette diversité est très enrichissante. » Entre les commandes de cartes carburant ou badges d’autoroutes pour les conducteurs, la préfacturation, la validation de facture entretien et lavage, la gestion des équipements de protection individuelle (EPI) ou celui des téléphones professionnels des salariés, mais aussi le suivi des infractions, accidents ou saisies des absences, les journées sont en effet bien variées.

 

Alhassan : « l’alternance, c’est intense ! »

Partons plus au nord à la rencontre d’Alhassan, qui occupe le poste d’affréteur sur la plateforme GT solutions Réseaux Spécialisés d’Aulnay (93). Alternant pendant 1 an lorsqu’il préparait son Bachelor d’affréteur, Alhassan est maintenant salarié de l’entreprise, preuve que l’expérience fut concluante à la fois pour lui et pour ses managers. Il revient sur cette expérience : « Je me suis beaucoup instruit pendant mon alternance ici, ce fut intense. J’étais en cours 1 semaine par mois avec 3 semaines chez GT solutions. C’est un bon rythme pour être bien formé et laisser la place à la pratique, en adéquation avec les apprentissages vus à l’école. »

Le monde du travail n’était pas une découverte pour lui, parce qu’il avait déjà travaillé dans la restauration rapide et en intérim. Mais il a surtout appris à s’adapter à chaque donneur d’ordre. « En tant qu’affréteur, j’organise le transport sur-mesure et je réponds aux demandes de cotation. Ce qui me plait, c’est la diversité des missions, et chercher à toujours satisfaire le client, placer des lots, trouver la meilleure solution au meilleur prix. »

Il est tout aussi positif sur les conditions de travail : « Je suis autonome mais jamais seul, car nous fonctionnons dans un service où il y a de l’entraide entre nous. GT solutions est une bonne entreprise pour les jeunes, avec du potentiel pour évoluer. Récemment par exemple, j’ai négocié des transports à l’international, c’est gratifiant.»

 

S’ils viennent apprendre un métier, ces jeunes alternants font également souffler un vent de fraicheur dans les services, en arrivant avec leur enthousiasme, leurs questionnements, leur maitrise des nouvelles technologies. Ces expériences sont autant de rencontres et de découvertes réciproques, qui enrichissent les équipes.

 

 

Jonathan, Responsable d’exploitation sur la plateforme de St Jory

2018, c’est une date-clé dans ton parcours, pourquoi ?

J’étais déjà Responsable d’exploitation chez DDS, entreprise implantée en Haute-Garonne et qui gérait des flux de transport, notamment des pneus Michelin. En 2018, GT solutions a racheté cette entreprise. J’ai donc conservé mon poste, mais en intégrant une nouvelle structure, bien plus importante. GT solutions est un grand groupe, tout en restant organisé autour d’entités à taille humaine. Ici, à St Jory, la plateforme s’est beaucoup développée avec plus de clients, plus de flux et plus de conducteurs, mais la qualité des relations est préservée.

 

Que fait un Responsable d’exploitation, REX dans le jargon ?

C’est le pilier des opérations. En charge de l’organisation des flux sur la plateforme, le REX est le garant de la qualité de service, du respect des délais. Toute la journée, je gère les relations avec le quai, le SAV et l’exploitation pour trouver des solutions. Je précise que je ne travaille pas sur l’activité historique de GT, la location de véhicules avec conducteur, mais sur les métiers Réseaux Spécialisés, c’est-à-dire la distribution et l’affrètement. Nous avons donc une activité de nuit qui est un rouage essentiel. Si tout roule la nuit, tout roule en journée !

 

Ton premier geste lorsque tu arrives le matin ?

Faire le tour des quais et faire le point avec le responsable quais, contrôler si tout est parti, vérifier la rentabilité de l’activité, regarder quelles sont les anomalies… et tenter de les régler le plus vite possible.

 

C’est cet aspect de ton métier qui te fait vibrer ?

Oui, nous avons de nombreux paramètres à gérer : l’humain, la météo, la technique, les autres transporteurs… avec beaucoup de grains de sable qui peuvent perturber le transport. À nous de trouver des solutions pour livrer malgré tout, dans les temps. Il n’y a aucune monotonie dans mes journées et j’aime cette diversité, même si parfois on souhaiterait plus de calme !

 

Tu supervises une équipe de 40 salariés. Quelle est ta vision du management ?

Pour limiter ces grains de sable justement, chacun doit respecter les process afin que tout soit le plus fluide possible. Je m’efforce donc de donner de l’autonomie à chaque collaborateur, tout en m’appuyant sur des personnes formées et polyvalentes. C’est important de pouvoir être remplacé, pour assurer la continuité de service. Cette organisation repose sur la confiance et la responsabilisation. Nous avons installé une très bonne ambiance sur la plateforme, y compris avec les équipes de GT Occitanie qui sont aussi présentes sur la plateforme. Nous communiquons tous avec un groupe WhatsApp, nous proposons aussi des moments de convivialité entre nous, qui amènent à mieux se connaitre et à désamorcer d’éventuelles tensions.

 

Une fierté à partager ?

Avoir pu établir cet état d’esprit justement et ces occasions de partage. Cela nous a permis de stabiliser et de fidéliser les équipes, ce qui était un gros point noir avant. En arrivant le matin, je suis content de voir mes collègues, de savoir que je peux compter sur eux et réciproquement. Dans ces conditions, la journée se passera bien !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jeux de Paris, se préparer ensemble…

1 – Anticiper, en dialoguant avec les parties prenantes

Membre du Club Demeter, GT solutions a participé à toutes les réunions préparatoires sur le sujet. Le Club Déméter est une association initiée en 2002, qui regroupe différents acteurs de la chaîne logistique : industriels, distributeurs, transporteurs, logisticiens, institutions. Son objectif est de mener des expérimentations dédiées aux livraisons urbaines, en prenant en compte les contraintes environnementales liées à la gestion des flux.

Depuis de nombreux mois, des réunions sur les JO sont organisées pour anticiper. Les deux directeurs de filiale directement concernés par la logistique des Jeux, assistent à ces échanges : Cédric pour GT Île-de-France Sud, et Jean-Michel pour GT Île-de-France Nord.

Jean-Michel reconnait que le défi est de taille, car il faut à la fois assurer l’approvisionnement des visiteurs présents dans toute l’Île-de-France, tout en intégrant les restrictions de circulation, et les demandes du Comité olympique en matière de RSE. En termes de nuisances, l’accent est mis sur le maintien des bonnes relations avec les riverains. Le recours aux véhicules électriques ou roulant au gaz permettra, par exemple, de réduire les nuisances sonores pendant les livraisons de nuit, tout en limitant les émissions de CO2.

Jean-Michel : « Le but des échanges au sein du Club Déméter est de préparer tous ces changements d’organisation, avec l’ensemble des opérateurs de transport et de logistique, ainsi que les distributeurs. Les représentants de la Mairie de Paris et des pouvoirs publics sont présents lors de ces discussions. Toutes les parties prenantes sont autour de la table. Différents axes de travail sont étudiés pour répondre à ces nouvelles contraintes, comme modifier nos plans de circulation, décaler les horaires de livraisons avec les points de vente, imaginer des solutions de stockage mutualisées et déportées, etc. Dans tous les cas, l’important est d’accompagner nos clients dans ces évolutions.»

 

2 – Informer les clients et organiser l’exploitation, deux priorités

Comme le souligne Jean-Michel, l’important est que tout le monde accède au même niveau d’information, afin de comprendre les contraintes puis d’échanger avec les donneurs d’ordre sur les aménagements indispensables au niveau des modalités de livraison.

GT solutions met donc en œuvre toutes les actions de communication nécessaires pour accompagner ses clients et leur fournir les détails disponibles. Plusieurs mails ont ainsi été envoyés dans cet objectif. Par ailleurs, GT solutions a mis en ligne sur son site tous les éléments à connaitre :  

.Les explications sur les périmètres de sécurité et leur spécificité,

.Les accréditations : comment les obtenir ?

.Les voies et itinéraires olympiques,

. Les sites en ligne que les professionnels doivent absolument consulter.

Au sein de GT solutions, la création d’un « Comité JO » marque la volonté d’échanger et d’anticiper afin d’amortir l’impact des changements. Tous les pôles concernés sont présents autour de la table : l’exploitation des métiers Réseaux Spécialisés et Dédiés, les ressources humaines, le commercial, la communication, le service technique. Ensemble, les participants font le point tous les 15 jours sur les avancées à date : quelles sont les informations disponibles, quelle organisation mettre en place, quel message envoyer et à qui, etc.

3 – Communiquer auprès des salariés

À travers son magazine interne et les différents supports de communication dédiés aux salariés, GT solutions fournit des informations pratiques à tous ses collaborateurs. Sur le terrain, les managers de proximité sont mobilisés pour venir en soutien des conducteurs, imaginer des itinéraires de secours, et répondre aux demandes des clients. Malgré l’anticipation et la préparation, tout le monde sait que cette période sera un véritable challenge pour les équipes et que chacun fera le maximum pour assurer la continuité de service pour que ces Jeux soient réussis !

Décarboner notre activité, jour après jour

ADEME : GT solutions obtient une aide pour acheter 38 véhicules électriques

La bonne nouvelle est tombée fin 2023. GT solutions a participé à un appel à projets de l’Ademe, qui consiste à recevoir une aide pour compenser le surcoût d’achat d’un véhicule électrique. « 25 dossiers ont été acceptés, ce qui représente une aide pour acheter 38 véhicules électriques », détaille Romuald, Directeur technique et Achats de GT solutions. « Ce soutien financier va nous permettre d’émettre des offres bien placées à nos clients sur l’électrique, et les inciter à franchir le pas. »

Le service technique a donc commandé les fourgons, plateaux-grues et camions frigo, et va déposer d’autres demandes d’aides pour environ 20 à 25 véhicules supplémentaires.

 

Pare-brise : réparer plutôt que remplacer

Non seulement réparer un pare-brise coûte moins cher, mais en plus cela réduit significativement notre empreinte carbone. Les illustrations ci-dessous retracent les différentes étapes de production et de traitement d’un pare-brise :

réparation pare-brise GT solutions

source Ademe

En 2022, GT solutions a fait réparer 29 pare-brises, soit une économie de 7076 kg de carbone.

 

Eco-conduite : inclure les salariés dans l’engagement environnemental

C’est l’objectif du challenge écoconduite lancé dans toutes les filiales. Si chacune choisit les équipes de conducteurs concernés par ce challenge et les modalités de récompense, toutes disposent d’un outil de suivi commun développé en interne, fonctionnant à partir de l’application LUCIE (appli d’aide aux conducteurs). 

Challenge éco-conduite GT solutions

Sur son smartphone, le conducteur rentre sa consommation via le module « écoscore », accessible également à tous les managers de proximité. Les résultats sont envoyés mensuellement aux participants, à la fois en litres et en émissions de CO2 économisés.

C’est la filiale GT solutions Méditerranée qui a inauguré le challenge, en sélectionnant 3 équipes de conducteurs sur différentes activités : grue, distribution et frigo, en mesurant l’amélioration de la consommation sur 3 mois.

Les premiers conducteurs ont été récompensés en février.

écoconduite conducteurs GT solutions

 

Pneu : agir sur les pneus pour accroitre leur durée de vie

Les pneus ont plusieurs vies ! Grâce au contrat d’entretien kilométrique mis en place par GT solutions sur son matériel roulant, les pneus sont très surveillés. Dès que possible, ils sont remis en état pour augmenter leur durabilité :

  • Soit leurs sillons sont recreusés, avant une usure trop importante. Cette manipulation diminue la consommation de carburant. Actuellement notre parc compte 50 % de pneus recreusés ;
  • Soit ils sont réchappés, en remettant une bande de roulement neuve sur la carcasse, ce qui évite de fabriquer de nouvelles carcasses.

Ces deux optimisations ont fait gagner à GT solutions plus de 600 tonnes d’émission de CO en 2022, cette réduction étant calculée sur l’ensemble du cycle de vie du pneu.

Fresque du Climat : sensibiliser pour changer les comportements

Inciter chacun à agir à son niveau, c’est l’objectif qu’avait Cédric Ringenbach en imaginant la Fresque du Climat en 2018. Début 2024, les membres du Comité Stratégique de GT solutions ont donc participé à la Fresque du Climat, en retrouvant les causes du dérèglement climatique et leurs conséquences sur l’ensemble des écosystèmes.

David, Directeur des Affaires juridiques & innovation, a animé ces ateliers : « La Fresque montre toutes les interactions, principalement sur les émissions de gaz à effet de serre (GES). Mais pour une même conséquence, il y a de multiples causes, donc plusieurs cartes à positionner sur la Fresque. Souvent, on pense connaitre un sujet alors que les impacts négatifs sont bien plus larges. »

C’est le sentiment qu’Yves, Directeur des filiales GT Bretagne et GT Centre-Ouest, a ressenti après cet atelier : « Nous avons pris conscience de la nécessité de réduire nos émissions de CO2. Chacun doit modifier sa manière de vivre et de consommer. »

 

Fonction RH : faire entrer la voix du salarié dans la stratégie de l’entreprise

Céline, que faisais-tu avant d’arriver en 2018 chez GT solutions ?

J’étais directrice des ressources humaines (DRH) chez un négociant en vin, donc très en phase avec l’activité principale de la région bordelaise ! Puis j’ai eu l’opportunité de rejoindre GT solutions, un peu avant la passation de la direction générale entre Michel et Matthieu Sarrat. J’ai été attirée par la forte empreinte familiale de l’entreprise, que j’avais perçue à la fois en effectuant des recherches sur internet, mais aussi lors des différents entretiens que j’ai eus avec Michel et Matthieu.

Entre le vin et le transport, est-ce le grand écart ?

Totalement ! Ce sont deux mondes qui n’ont rien à voir. Le secteur du négoce en vin, c’est l’univers du luxe et de l’entre soi. Alors que le transport est connecté à la société. On a impérativement besoin de conducteurs pour approvisionner les magasins, les hôpitaux, les EHPAD, pour livrer les chantiers, et d’équipes sur les plateformes pour gérer les colis. On l’a bien vu pendant la crise sanitaire où nos salariés étaient en première ligne. C’est une activité essentielle.

En travaillant ici, j’ai l’impression d’être utile. Nos collaborateurs incarnent cet état d’esprit. Jamais un conducteur ne va laisser tomber son client. C’est vraiment marquant.

Le monde du transport et de la manutention est connu pour ses difficultés de recrutement. Que constates-tu ?

Depuis mon arrivée, les comportements ont changé et le Covid y est sans doute pour quelque chose. À tous les postes, les salariés sont plus volatiles, ils ont envie de variété. Je suis frappée par les moins de 30 ans qui quittent l’entreprise pour aller vers l’entrepreneuriat. Il faut accepter ces nouveaux modèles et faire avec ce renouvellement de notre effectif, tout en agissant bien sûr pour limiter le turn-over.

Comment ?

Depuis 5 ans, nous travaillons sur la rémunération, sur la reconnaissance via les distinctions GT, sur le management. Nous nous engageons également en faveur de l’emploi dans la distribution et le transport, à travers notre École du conducteur, ou via des démarches innovantes comme la labélisation Ambassadeur de l’emploi.

Y a-t-il une réalisation dont tu es fière ?

Sans parler d’une action particulière, le service RH a adopté un mode de fonctionnement plus souple. Nous avons changé de dynamique en nous adaptant aux évolutions, plutôt que de poser une organisation d’abord.

Cette posture est nouvelle. Parfois les équipes aimeraient faire une pause dans le changement mais on ne peut plus attendre, le monde va trop vite.

Un exemple pour illustrer cette agilité ?

Nous avons mis en place il y a 5 ans une équipe de chargés de recrutement en filiale. Au bout de 3 ans, nous nous sommes rendu compte que le modèle s’essoufflait, alors nous avons repensé le modèle. Il va encore évoluer cette année parce que cela correspond aux demandes du terrain.

C’est-à-dire ?

Dans notre secteur, le rouage essentiel, ce sont les conducteurs et les manutentionnaires. Cependant la réalité économique, géographique et opérationnelle en Vendée n’est pas comparable avec celle de l’Île-de-France par exemple. Nous devons apporter des réponses RH locales plus précises en tenant compte de l’humain, des écosystèmes, des clients… Changer notre approche pour être au plus près des besoins exprimés, en restant attentifs à ce que les gens soient bien dans leur poste. On veut garder nos salariés !

Qu’apprécies-tu le plus dans ta fonction ?

Sans hésiter, la variété des sujets abordés. Le service RH a un périmètre très large, qui comprend le juridique et le social, la qualité de vie au travail, la rémunération, le développement des carrières, la prévention, etc.

Cela demande une relation de proximité et de confiance avec tous les opérationnels. Seule, la fonction RH n’a pas de sens, elle comporte forcément une dimension collaborative nourrie par les échanges avec les autres services et avec les collaborateurs. À nous d’animer le dialogue social et de faire entrer la voix du salarié dans la stratégie de l’entreprise.

 

Au volant ou au bureau, elles assurent !

Grue, Super-Lourd, volaille…

À écouter ces trois conductrices, l’appel de la route est irrésistible ! Cela ne s’explique pas, elles aiment piloter un camion et s’y sentent à leur place, tout simplement. Prenons Jennifer, conductrice spécialisée dans le transport de volaille chez GT solutions Bretagne, qui a choisi de changer d’orientation… à 38 ans. Avec toute sa famille dans le transport, Jennifer a toujours souhaité tenir le volant d’un poids lourd. «Avant, je travaillais dans la vente de matériel incendie. Rien à voir ! Le Covid a déclenché mes envies de reconversion et j’ai suivi une formation permis Poids Lourd en 2020. C’était le bon moment pour changer et me lancer enfin dans ce projet. »

Ce qu’elle aime dans ce métier ? « L’autonomie, la responsabilité de gérer ma journée de travail et ses inévitables aléas, le contact avec les éleveurs et avec les équipes de ramassage. Dans les élevages, je m’occupe de manutentionner les containers de poulets grâce à un chariot embarqué à l’arrière du camion. »

Sa collègue de GT solutions Sud-Ouest, Nathalie, exprime exactement le même sentiment : « J’ai 53 ans, j’aime mon métier et l’univers de la route. J’apprécie l’autonomie dont je dispose, le fait d’évoluer à l’extérieur sans rester entre 4 murs. Je reconnais qu’avec l’âge, certaines tâches sont plus dures. L’hiver, lorsqu’il y a du vent ou de la pluie et que la bâche de la remorque s’envole, c’est physique ! Mais j’ai besoin de cette liberté au volant de mon camion, et du contact avec les clients. »  La particularité de Nathalie : être conductrice Super-Lourd, encore plus rare pour une femme. Mais pour elle, c’est une évidence. Elle a la route dans le sang.

Quant à Danièle, son parcours rejoint celui de Jennifer. « Quand j’étais petite, je souhaitais être chauffeur poids lourd ! Mais mes parents n’ont pas voulu, alors que mes frères ont passé leur permis PL. Moi, je suis entrée à La Poste, puis à la Banque Postale, jusqu’à l’an dernier. »

À 44 ans, elle décide enfin de répondre à l’appel du volant en entamant une reconversion. Elle s’inscrit à l’École du conducteur de GT solutions puis devient en suivant conductrice spécialisée dans la livraison de matériaux pour le bâtiment, chez GT solutions Centre-Ouest. Elle vit enfin son rêve de jeunesse !

 

Hadria ambassadrice 

GT solutions et la filiale GT Sud-Ouest ont été labélisées fin 2023 « Ambassadeur de l’Emploi du transport et de la logistique », une démarche portée par l’AFT (Association pour le développement de la Formation professionnelle dans le Transport) afin de renforcer les bonnes pratiques du secteur en matière de découvertes des métiers, de recrutement et de fidélisation des salariés.

Au sein du groupe de travail qui a préparé ce projet, Hadria, Chargée des Ressources Humaines chez GT Sud-Ouest, revient sur cette expérience hors normes : « J’ai été flattée et fière de défendre les couleurs de mon entreprise, pour décrocher ce label. Ce n’était pas acquis d’avance. Mais nos interlocuteurs ont souligné la qualité de notre dossier. »

Hadria détaille certaines actions annoncées dans le dossier de candidature pour devenir « Ambassadeur de l’Emploi », dans lesquelles elle compte bien s’impliquer telles que « engager des partenariats avec des écoles, afin de présenter la diversité de nos métiers à des jeunes, en intervenant tôt dans l’orientation professionnelle, ou participer à des jurys d’examen liés au transport. »

 

Piloter la paie ou gérer les RH et le recrutement

Au siège de l’entreprise à Bassens (33), Chrystelle est Responsable paie de GT solutions. Ancienne alternante, elle a gravi les échelons, jusqu’à devenir manager. « GT solutions m’a donné ma chance », reconnait-elle. Avec les 7 personnes de son équipe, elle gère « la paie de toutes les filiales, soit plus de 2000 bulletins à réaliser à chaque fin de mois, sans parler des soldes de tout compte à établir pour ceux qui partent, et les déclarations de charges. »

En dehors de ces périodes de rush, Chrystelle reste en veille constante pour suivre l’actualité concernant les hausses des salaires ou la réglementation sociale. « C’est aussi cette nouveauté permanente qui rend ce métier passionnant », avoue-t-elle.

 

Autre profil, autre parcours avec celui d’Éléonore. A 24 ans tout juste, cette Chargée RH chez GT solutions Rhône-Alpes explique pourquoi elle a délibérément choisi le secteur du transport : « En préparant mon master management RH, j’ai effectué toute mon alternance dans le BTP, et cet univers principalement masculin m’a bien plu. En voyant l’offre d’emploi de GT solutions, j’ai donc eu envie de retrouver cet état d’esprit et un franc-parler que j’apprécie. »

Quelles sont les missions d’une chargée RH en filiale ? « Je gère l’administration du personnel, à partir du moment où les salariés sont recrutés, jusqu’à leur sortie de l’entreprise. J’aime beaucoup l’aspect très polyvalent de ce poste, et son côté opérationnel aussi : je suis en contact permanent avec les managers, les conducteurs, les manutentionnaires. » Au-delà de ce suivi, Éléonore met également toute son énergie à organiser des actions en faveur de la qualité de vie au travail (QVT) des collaborateurs.

 

Attirer des conducteurs et des conductrices, c’est la mission de Carole, Consultante en recrutement pour GT solutions emploi. « En amont, je reccueille auprès des exploitants tous leurs besoins d’embauche pour les postes de conducteurs Poids Lourd et Super Poids Lourd. Je recrute aussi les élèves qui suivront la formation de l’École du Conducteur, basée sur le site du siège GT solutions à Bassens. »

Passionnée par le relationnel et les échanges, Carole apprécie tout particulièrement les entretiens physiques avec les candidats : « On détecte bien mieux la personnalité de quelqu’un quand on est en face à face. Car tout le monde ne peut pas être conducteur : il y a le savoir-faire, mais c’est surtout le savoir-être, l’état d’esprit. Pour être un bon conducteur, il faut être autonome, rigoureux et sociable vis-à-vis des clients et des équipes. »

Nul doute que Jennifer, Nathalie et Danièle cochent toutes ces cases !

salariées GT solutions

 

 

 

GT solutions devient Ambassadeur de l’Emploi

L’AFT (Association pour le développement de la Formation professionnelle dans le Transport) mène depuis plusieurs années une action afin de renforcer les bonnes pratiques des secteurs transport & logistique en matière de découvertes des métiers, de recrutement et de fidélisation des salariés.

Cette démarche, baptisée Ambassadeur de l’Emploi, s’organise à partir d’un réseau d’entreprises volontaires qui souhaitent s’impliquer dans le développement économique et social de leur territoire.

Les organisations participantes s’engagent sur des actions concrètes et mesurables sur 3 années, en suivant les 3 axes de la démarche :

Axe 1 : faire découvrir les métiers

Les entreprises engagées dans la démarche «Ambassadeur» réalisent des actions avec leurs partenaires locaux, en matière de découverte des métiers et leur spécificité, auprès de différents publics.

Axe 2 : optimiser ses recrutements

Il s’agit pour l’entreprise «Ambassadeur» de transformer ses process de recrutement et d’intégration afin de devenir un employeur courtisé et attrayant, dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE).

Axe 3 : fidéliser ses salariés

En augmentant le sentiment d’appartenance de ceux-ci et en développant le bien-être au travail.

 

Augmenter notre visibilité

Céline Duprat, chargée de développement RH, Hadria Silvère, chargée RH chez GT Sud-Ouest et Emma Torres, chargée RH en alternance chez GT Sud-Ouest, ont donc présenté la candidature du siège de Bassens et de la filiale GT Sud-Ouest devant l’AFT Nouvelle-Aquitaine. Pour cela, elles ont dressé un état des lieux des dispositifs déjà opérationnels, et proposé un plan d’action pour les 3 prochaines années. « Cet agrément va nous ouvrir de nouvelles portes auprès de partenaires externes, comme des écoles ou Pôle Emploi, explique Pauline Patarin, chargée de communication. Pour ces interlocuteurs externes, le fait que nous soyons Ambassadeur de l’Emploi est un gage de sérieux. Nous intégrons ainsi un réseau d’acteurs en lien avec l’emploi. Nous serons avertis lors d’opérations ou d’événements spécifiques, et nous pourrons mettre en place des actions de proximité plus ciblées, partout en France car l’objectif est que toutes les filiales soient labellisées, avec un référent identifié dans chaque structure.»